Archive for the ‘Pas Rapport’ Category

Le grand drame

Thursday, February 19th, 2015

Sous les effluves écarlates au vent
Je vois les étoiles et le bordeaux qui tourne
Croissants, l’ame me traversant.
C’est dans mon passé que je retournes

On ignore le mal un matin
Mais on se demande si c’est le destin
Tout d’un coup égoïste, on se demande
C’est dans ses plates-bandes ?

On est tentés, on voit le diable
Le hasard créé des interactions,
Impossible d’être impitoyable
On “crave” de son attention

Je retrouves mes mots, mes rêves
Ce n’est que de l’air pour du monde
Mais pour moi le bonheur abonde
Qu’y a t’il de l’autre côté de mon rêve ?

Après 4 saisons, on ouvre la porte
Croyant tout maitriser
Le grand vent nous emporte
J’oublie le présent méprisé.

C’est le soleil, le lac clair comme une vitre
Le calme, une main qui me pousse au dos
Je suis tranquille au pupitre
C’est de l’extérieur mon rideau

Pas de loups, que des non dits
Poker face, Pas facile d’être ici
L’expectative est un thrill et une prison
Mais c’est presque une damnation.

Hors du cercle, finalement, c’est certain
Daydreaming, ça tue absolument
Le fix est tout sauf certain
Une drogue qui nous manque sauvagement

C’est tous les dawns et les dusks
La pluie au sommeil et réveils
Ce qui gravite rempli un vide avec muscle
Le présent me garde pareil

En ultime merci
On fait tourner le chargeur
On vomit notre coeur
C’est un des derniers paris.

Les jours s’égrènent. Rendent mauvais
La cause de silence est subodorée
La distraction, le présent, est garé
Les effluves écarlates font encore effet

A tout a trac, on voit ce qu’on a jamais vu
Quelques mots, qu’on a déjà vus.
Mais que dois-je penser
Quel mal ai-je envoyé ?

Comme un été hâtif
Peut-être me fera-il payer
Mais j’ose espérer
Que tombe le masque définitif

Oscar Wilde, il ne ment pas

La fin de la jeunesse

Sunday, August 10th, 2014

Fredonner la musique des années quatre vingt
Se rappeler où on était il y a 25 ans
Les voyages impromptus en capitale
La manne est passée, tout est devenu sale
J’ai gaspillé mon adolescence, mes 15 ans.
Personne ne m’a tendu la main.

Les gens qui me comprenaient ont disparu avec les années
La routine et la distance les ont fait fuir
Mes étoiles ont cessé de jaillir.
Je ne suis pas amer. Tous ont une vie hors de l’amitié.

Dans l’âge des compromis et des responsabilités.
L’âge où on se comprends aussi résigné
A ne pas vivre la vie flamboyante qu’on veut
Mais celle que l’on peut, parfois heureux.
On comprends que la rançon d’être honnête
C’est de voir la richesse des gens malhonnêtes.

Argent, voitures, maison, maitresses. J’ai tout vu.
Ils n’emmèneront rien de ça avec eux
Mais ils auront vu, ressenti et vécu.
J’men veux d’être honnête, disponible
Faire le mal semble d’une joie indicible

They fucking get away with it. Every fucking single one of them.
No accountability, no fairness, no justice
The others can just pay for it all, watch the show
Squirming to see what they can’t fucking get in a million year.

Tout jeune, se réveiller en pleine nuit.
Entendre ses parents s’inquiéter de leur ainé
Comprendre qu’ils ont choisi mes compromis
C’est probablement ma casualité.

Jamais je reviendrai à ces gens
Qui ont tout pris pour eux comme des brigands
Qui m’ont fait faire des choix inquiétants
Et m’ont transmis des valeurs
Qui sont aujourd’hui loin du bonheur

Jvoulais juste aller au Parc Belmont.
Le monde qui est dans ma tête
Je l’ai écrasé, répressé.
Ceux qui l’ont vu m’ont souvent dénigré
C’est pas payant d’être honnête
On se fait toujours dire non.

A presque 40 ans.
Je sais plus où aller. Je sais plus quoi faire.
J’ai pas encore trouvé ce que je cherches.
Et je ne sais pas ce que je cherches.
Je mène une vie ordinaire
Dans un confort matériel anesthésiant

“Sometimes, Knowledge is a curse.” – The Man Who Wasn’t There

We may be through with the past, but the past ain’t through with us” – Magnolia

Followup on the Novell eDirectory situation….

Thursday, May 15th, 2014

In my previous post on the subject, I was telling you that we are moving our Mac directory services from Apple Open Directory to eDirectory by Novell.

I did not have many surprises. But some things are breaking, all can be fixed.

  • The Wiki service won’t like to authenticate to an external alien LDAP server by default. The fix is here: http://support.apple.com/kb/TS1619. Group membership is still problematic in my case. I plan to ditch the wikis anyway….
  • Samba won’t work properly unless you follow some fun procedures listed here: http://aput.net/~jheiss/samba/ldap.shtml. What is not written in this article is:
    • Since Apple is using a custom version of Samba that seems to rely on the Password Server, you have to write not so intuitive directives in the /etc/smb.conf file to disable the whole OpenDirectory routines before LDAPSAM will actually work.
    • You will have to extend the LDAP schema.
    • Windows passwords have to be entered with a small utility called mkntpwd. You take the output of that program to actually craft to user properties with iManager (sambaNTpassword and sambaLMpassword)
    • The Windows User passwords won’t be synchronized with their actual eDirectory password.

I will make a full post regarding Samba soon. I will toy more with it also…

Oh ! And regarding SMB2, the new Apple SMB server in Mac OS X starting with Lion (10.7) there is no way to have it to authenticate with an external LDAP.

Pourquoi je ne parles plus à ma famille.

Sunday, April 6th, 2014

Colophon:

C’est un post qui je sais va créer un malaise. Pour cette raison, les commentaires sont désactivés. Ça fait un an que je parles plus a ma famille.

Long prologue:

J’ai eu une jeunesse avec ses hauts et ses bas. A mon jeune âge, mon père était contracteur et ma mère travaillait comme technicienne en laboratoire a l’hôpital de chicoutimi. Nous habitions une relativement cossue maison canadienne sur la rue Richmond a Chicoutimi jusqu’à ce que je sois en 2e année du primaire. Il y avait 2 autos et un camion dans “la rue fortier”. Je dirais que j’ai été relativement peu supervisé par mes parents à mon jeune âge. Ce n’est pas un reproche.

Mon arrivée au primaire a été dure. On me disait dissous. La situation s’est vraiment dégradée en 2e année. J’ai passé je sais pas combien d’heures en punition sur le bord de la porte. Une psychologue venait me chercher parfois, je me souviens plus comment ça virait. Pour je ne sais pas trop quelle raison, j’avais beaucoup de jeunes de mon âge qui s’acharnaient sur moi. Les quelques fois où je me suis défendu, je me suis fait chicaner. Hard. Life is fucking unfair. 

J’ai fini par être expulsé. On m’a envoyé dans une école spéciale où l’ont se faisait tirer les oreilles quand on faisait pas comme il fallait. J’ai fini ma 2e année là et j’ai fait toute ma 3e année. Quelques un des professeurs de cette école venaient de l’institut Saint-Georges. Je me souviens pas vraiment de mes parents a cette époque de ma vie.

J’ai été retransféré dans une école “normale” pour ma quatrième année. Ce fut un vrai calvaire. J’ai été à peine supporté. Notre voyage de fin d’année était un voyage autour du Lac-Saint Jean. On devait ramasser des fond. J’avais une boite que je m’étais fabriqué à cette fin. Les autres jeunes de mon groupe n’appréciaient pas ma présence en général. A un moment donné, quand l’institutrice à commencer a discuter du voyage, les autres ont pas cessé de m’insulter. Je me suis levé, interrompant l’institutrice et j’ai demandé qui ne voulait pas que je sois du voyage. Une large majorité on levé leur main. Je me suis rassis et j’ai annoncé que je n’irais pas.

Le plus insultant dans tout ça: J’ai eu a me présenter dans une classe vide tous les jours de leur voyage afin de faire de la copie et dans les derniers jours, effectuer du rangement/ménage. C’est fair en tabarnak ça !

Le même genre manège s’est poursuivi en 5e année, et j’ai été retransféré dans une école spéciale pour la fin de mon primaire.

Mon secondaire a été relativement sans histoire. Le secondaire 4 a été plus heavy, mais je suis passé au travers. J’ai découvert ma passion: l’informatique, durant cette année. Ça a mené a des notre plus basses et des “math fortes” presques coulées pour la fin de mes études secondaire. Mes parents me donnaient de la marde solide. Pour rien. Je l’affirmes aujourd’hui. Les maths de secondaire 4-5 sont de la marde. Le plan de cours est mal structuré. Pas assez axé sur les résultats.

Quand on juges un enfant que par son bulletin, on manque l’essentiel du message je pense. J’ai fermé ma gueule.

Toutes les passions que j’ai eu au secondaire ont été dénigrées par mes parents. C’était pas assez commode(pour eux) comme passions, mais au moins je faisais de quoi de ma peau !

Mon passage au secondaire m’a fait réaliser que j’avais plus d’affinités avec les adultes que les gens de mon âge. Pouquoi ? Your guess is as good as mine.

Mon développement social est apparu plus au cégep, où je me suis fouetté assez fort pour me présenter au Journal étudiant. L’effervescence de l’internet a fait que j’ai développé de grandes amitiés avec des professeurs. Mon niveau académique s’est détérioré. Je n’avais plus l’intérêt. Autant je mangeais des sciences lorsque j’étais au secondaire, autant quelques profs morons pas bons m’ont fait perdre mon goût pour les jobs en lab coat. (Oui maman, ils était syndiqués. Comme quoi c’est trop compliqué “clearer” du monde syndiqué incompétent)

A un certain point, mes notes étaient pourries. Ma mère, grande syndicaliste, est venue me voir et m’a dit: “C’est de la marde. regarde ton cousin XXXXXX il travaille chez Nortel et il fait 60 000 $ par année”. Le come-back intéressant serait de lui faire réaliser qu’est-ce qu’il est advenus de ces gens là. Je l’ai fait il y’a quelques années sans résultat. Il y a des gens qui ne se trompent jamais dans la vie, même quand ils sont dans le tort. Ça ne fait que démonter la profondeur lunatique de certaines personnes.

J’ai changé de programme pour Informatique. J’ai pas eu le temps de finir mes études (Plate, pénible, déconnecté) que j’avais un emploi. J’ai donc été sur le “big bad” monde de l’emploi.

Parenthèse:

Un an or so avant que je délaisses les études, j’avais des contrats externes suffisants pour rénover a mes frais un Bachelor à l’extérieur de la maison familiale. Rénové, la porte, les convectairs, air climatisé, pitch sur le toit. Peinture. Tout ! Même des cèdres dehors. Je payais mes comptes. Quand j’ai officiellement quitté mes études, ma mère m’a fait payer pension. Ce que j’ai fait, a quelques cheques rebondis près (En fait, je me souviens que de un seul, que ma soeur m’a niaisé pendant des semaines) pendant plus de 2 ans. C’est cheap mais rappelez vous de ce fait et read on…

J’ai changé d’emploi au saguenay une seule fois. Et finalement en 2000, je suis parti pour la grande ville. L’émotion est un peu comme si on avait vécu enfermé toute sa vie pour enfin vivre dans un endroit où de gens te comprennent.

Malgré qu’au saguenay on vive très mal sans auto, et que la plupart des jeunes gens de mon âge avaient un permis de conduire a 16 ans et un jour, même a mon départ pour montreal, je n’avais pas de permis de conduire. Mes parents, mon père en particulier, disait qu’il aimait mieux faire le taxi que de nous laisser conduire. Scooter ? J’aurais trippé, mais maman-ne-veut-rien me disait “trop dangereux”. Deux osties de mange marde. Ya des côtes en tabarnak au saguenay, pis un vélo, c’est poche. Transport en commun: au saguenay: Une joke!

C’est sur que c’est toujours plus le fun aussi de niaiser son fils devant toute la visite chaque année du fait qu’il a brisé le char quand il y avait une grosse bosse de glace devant le garage et que le char a rentré dans le garage quand on lui a demandé de rentrer le char que d’Actuellement lui autoriser de conduire.

Ma soeur a eu un accident avec la Honda toute neuve de maman et pas un plat a été fait de ça.

Mon frère

Mon frère et ma soeur sont mes cadets.

Mon frère avait une auto qu’il pouvait conduire dans le chemin privé familial quand il avait autour de 16 ans. A cet âge, j’avais réussi a me ramasser un mobylette a pédale que j’ai jamais pu conduire légalement. Merci parents.

A 16-17 ans, ma mère lui achetais de la bière au dépanneur. Jamais j’aurais demandé ça a mes parents. Anyway, ils auraient pas voulu.

Il a lâché ses études sans finir son secondaire. Il a jamais payé pension initialement. Il a repris le bachelor. Il avait des fréquentations moins honnêtes que les miennes, le bachelor a été vandalisé. Mon père l’a réparé au frais de l’assurance.

Il a travaillé a Longueuil, est parti ensuite pour “retrouver ses chummy” au saguenay. A perdu sa job (par sa faute), vécu au crochet de maman et papa avec un char presque neuf (pour faire une histoire courte) pour a ce que j’ai entendu revenir a Montreal.

Nice being a deadbeat. 

Don’t get me wrong. Malgré tout ça, j’aime beaucoup mon frère. Mais c’est pas juste que j’ai eu tous les coups de pieds au cul que j’ai eu et que lui ait eu juste ça. Avoir fait la moitié de ce qu’il a fait, mon père m’aurait égorger. C’EST PAS JUSTE. OSTIE.

Ma soeur.

J’ai jamais eu affaire a elle. Vraiment.

C’est drôle a dire. mais c’est ça. C’est la seule universitaire de la famille. C’est probablement pour ça que maman lui a prêté son auto et lui a payé son permis de conduire. Elle habite la banlieue, loin. designer d’intérieur. Elle a une maison. Avec une entrée. 2 autos. On peut y retrouver ma mère souvent quand elle est en visite dans la région métropolitaine. C’est moins forçant prendre la grosse Cadillac pour aller voir sa fille en banlieue que de prendre le même char pour se parquer dans ma ruelle ou *god forbid* dans ma rue pour venir me voir.

Mon point avec ma soeur c’est que:

  1. Je n’ai coûté aucune études universitaires a mes parents, quand ils en ont payé en pelletage de nuage a ma soeur. (Come on, histoire de l’art ? FFS)
  2. La banlieue, c’est pas la vie. Faire ma vie en banlieue serait absolument merdique.

Mon père m’a remis sur le nez souvent que “je devrais acheter” parce que ma soeur “S’est fait construire”

Faits:

  1. Une maison près de mon lieu de travail coûte une beurrée
  2. J’irai pas rester en banlieue pour être dépendant d’une auto.
  3. Les gens que je connais avec une maison:
    1. Ont hérité
    2. Se sont fait payer le cashdown
    3. Travaillent en ingénierie dans le domaine de la collusion
    4. L’ensemble de ces réponses

Aujourd’hui:

Professionnellement, j’ai fait mon chemin à Montreal. Ça fait 14 ans que j’y suis. Je fais une job que j’aime. J’ai une femme que j’aime a mes côtés et trois enfants. Mais j’ai pas été drillé et j’ai pas la patience que je voudrais avec mes kiddos.

J’ai finalement appris a conduire a 30 – 31 ans….

Dans le même genre de discussion que “ton cousin gagne 60 000 $ chez nortel”: Lors d’un souper ici, ma mère, pendant que je faisais la vaisselle, a eu le front de sortir un “Un universitaire doit gagner automatiquement plus cher que les autres avec l’équité salariale”. Ya right ! Je l’aurais frappé. N’importe quel moron avec de la mémoire peut avoir un diplôme universitaire. La compétence se mesure pas avec un diplôme universitaire.

Des fois je me dis que j’aurai du leur couter 250 000 $ d’études au MIT ou a Havard.

J’ai voulu me marier il y’a un an. On faisait un mariage a cuba. Personne de ma famille a répondu au RSVP. Même mes parents.

Now, pour mettre les trucs en perspective. Ma mère travaillait dans un syndicat de la santé. Depuis que j’étais a Montreal, elle était engouffrée la dedans. Elle a pris sa retraite il y’a quelques temps. C’etait une fucking premier ministre. Elle aurait pu partir 4 jours pour venir. La crisse de cheap s’est décidé a venir quand je lui ai dit que personne venait. Je demandais aucun cadeau de mariage, juste qu’elle soit là. On m’a aussi inventé une histoire pour mon père. Je suis pas convaincu que c’est vrai. On a annulé.

Ma mère planifiait le mariage de ma soeur la même année. Je n’en avait aucune idée. Elle a tenté de nous faire changer notre date. Elle est allée au mariage de ma soeur

Regarde: Je suis l’ainé. Je change pas la date.

Ma soeur s’est mis à bitcher sur nous sur internet “Ils se marient la même année que nous” pis c’est si pis ça.

Voilà. Le summum du cheap.

J’ai fait savoir en mars 2013 a mes parents, mon frère et ma soeur que je voulais plus leur parler. Ça a pas empêché mes parents de se pointer chez moi, non annoncés, en tassant ma blonde la porte en octobre 2013. J’aurais pu appeler les policiers. Ben du criage. Ça a fini par quelqu’un me disant qu’il voulait pas venir me voir parce que je restait “dans une crisse de ville de fou”.

Ben retournes dans ta gériatrie de Saguenay. C’est les gens de Montréal qui paient pour votre coin de chômeurs en pickup anyway.

Mon frère s’est pointé 2 fois, Je l’ai reviré les deux fois. Je vais lui retourner la carte cadeaux de Canadian Tire qu’il m’a laissé.

“La famille c’est un package deal”

Conclusion:

J’ai pas été soutenu par mes parents. Même a mon jeune âge, ils ont pinné le trouble sur moi au lieu de voir que peut-être que quelquechose ne marche pas ailleurs. Pas pour rien que mon rêve était d’avoir un tuteur a la maison. Aveugles, ignorants. Innocents. Je suis convaincu que j’aurais pu être un artiste ou du moins un meilleure personne.

Je me suis fait dire non souvent. Frappé parfois. Maman a intervenu, mais plus tard elle a eu ses méthodes à elle de me faire du mal. Plus subtiles, mais je m’en souviens encore.

Pendant que les enfants de mon âge parlaient de skidoo pis de jeux vidéos ou de voyages a Disneyland, j’avais rien a raconter.

Quand je suis parti de la cellule familiale, j’ai connu d’autre gens.

Des gens qui avaient pas a s’inquiéter que leur loyer et leur comptes soit payé, des fils a papa, c’était pas mon cas. Mais crisse que je les enviais. Des gens qui se faisaient payer un ordinateur neuf chaque année par papa maman par exemple. Même si ça a été ma carrière, j’ai eu qu’un seul ordinateur payé par mes parents, et ils en ont été obligé, c’est une longue histoire. J’ai très rarement demandé de l’argent a mes parents une fois parti de la maison.

Je demandais pas ça a mes parents. Je demandais que l’on m’écoutes, qu’on me comprennes pis j’ai rien eu de ça.

J’ai eu des parents cheap financièrement et de leur personnes, qui ont jamais pris le temps de comprendre ce qui m’allumait, qui m’ont donné des coups de pieds au cul non stop mais qui ont laissé mon frère et ma soeur faire ce qu’ils voulaient sans leur administrer les dits coups de pieds. J’ai fait ce que je pouvais avec ce que j’avais avec le résultat est pas mal. Mais vous en aurez pas le bénéfice.

C’est pas juste ! Pas correct ! Fuck you !

Je renie mon héritage. Étouffez vous avec vos osties de chalets pis la grosse cabane (que papa veut pas vendre anyway). Le fun qu’on aurait pu avoir en famille est là, pis vous l’avez juste gaspillé. Peut-être mon frère et ma soeur vont le dilapider dans un temps record.

Voilà. Vu que j’assume que mes parents ont lu le message. Les moyens de communication pour nous rejoindre sont barrés. Vous avez eu votre fun, amusez vous avec les deux autres. Quand votre nom sera sur une petite boite, je daignerai vous rendre visite. Par politesse. Quand j’aurai plus de cheveux blancs, je considérerai une amnistie, mais je penses pas que ce jour va venir.

Si vous vous pointez a la maison une autre fois et que vous refusez de partir, je vais appeler les policiers. C’est valide pour vous quatre.

Adieu.

Pêcher à la dynamite – Contraventions à Vélo

Sunday, May 23rd, 2010

J’ai pogné un ticket mardi En vélo ! 37 $

C’était mon deuxième jour où je m’étais décidé de prendre mon vélo pour aller et revenir du travail.

J’ai été arrêté ici.

J’arrivais de René Lévesque et j’ai roulé quoi, 20 pieds sur un trottoir pour pouvoir retraverser et pogner la piste cyclable. 3 policiers étaient là, avec une auto dont le moteur fonctionnait et qui a fonctionné tout le long où ils ont donné des tickets à quoi 10 cyclistes ?, c’est là qu’ils m’ont pogné.

Les 3 policiers qui étaient là, “pêchaient à la dynamite” sur le coin du trottoir du parking de l’édifice de la SAQ. Ils avaient une attitude carrément baveuse, ils avaient l’air content de faire chier les pauvres cyclistes. Je roulais a moins de 5 Kilomètres a l’heure, j’attendais juste que la lumière vienne rouge pour traverser la rue et regagner la piste cyclable, qui est de l’autre côté.

L’autre “Boeuf sale” a expliqué a deux dames plus âgées a côté de moi que “des gens sortaient du parking et ne voyaient pas les cyclistes venir”. Bullshit. Regardez comment cette sortie de parking là est faite et il faut vraiment prendre la peine de ne pas regarder (Pieton et Automobilistes) pour qu’accident se produise.

J’ajouterais également, que l’intersection René Lévesque et De Lorimier est extraordinairement mal faite pour les cyclistes !

Je suis 100 % d’Accord avec Photosmax et l’autre madame qui a commenté sur son post

Pour moi, c’est fini le vélo. J’ai pas coupé 2 autos sur une intersection, j’ai roulé a la même vitesse qu’un piéton qui fait du jogging !

Je vais contester le “ticket”.

Montreal aurait avantage à être plus Lenient envers les cyclistes. On fait notre possible avec les chemins que l’on a.

Je donnes tout spécialement un gros bravo aux policiers qui laissaient fonctionner leur gros char sur le ralenti pour donner des tickets aux cyclistes qui essaient d’éviter de Polluer. C’est ben trop forçant de donner des tickets avec un pad.

Dealer avec l’incompétence…

Friday, December 4th, 2009

Beaucoup de choses ce sont passées dans ma vie professionelle depuis le mois de mai, mais les deux ans précédentes ont été un long purgatoire où j’ai eu l’impression d’être seul.

Le passé

J’ai été embauché pour faire le support aux usagers dans une maison de production et au niveau personnel ça a mal été a partir du début avec mon collègue. Il était passablement plus âgé que moi et au début, il a fait un espèce de powertrip qui a pratiquement tout détruit ce que je pouvais avoir comme respect pour lui. Je suis, je crois, demeuré professionnel, même si il m’a fait sortir des mes gonds à quelques reprises. Mais j’aimais la place, le milieu et les gens. (more…)

C’est une fille

Thursday, August 27th, 2009

Arrivée a 14h31. En santé. Pas encore pesée !

So Much To Do So Little Time

Tuesday, February 24th, 2009

J’ai fait plein d’expériences techno, vidé une partie de mon sous sol.

Mon employeur m’a donné un gros serveur IBM Pentium III avec un RAID5 sur lequel j’ai eu a installer Linux et sur lequel je m’affaire a transférer mes blogs et mes patantes qui sont dans Clarus et Polarus, deux vénérables serveurs G4 Dual. Pour faire une histoire courte, le serveur sera bientot un Dual 1.4 Ghz et je l’ai upgradé a 4Gb de Mémoire vive. Vive CentOS.

Me reste le cauchemar de configurer Cyrus, BIND et tous les hacks que j’avais avant sous Linux. Le candy coating Apple rends les choses pas mal plus facile !

Mon blog, celui de ma blonde, les deux de l’ex et celui de Julie sont là déjà.

J’aime beaucoup mon pou™. Le retour au travail de ma blonde fut assez smooth, la routine se réinstalle doucement. Je me surprends même a m’ennuyer de ma petite famille durant le jour.

Depuis un an, j’avais délaissé le style vestimentaire que j’avais avant pour les jeans et le T-Shirt. Je revenu a des visions plus conservatrices soit Chemise, Cravate, Pantalons, parfois veston… Ça a surpris les premiers jours, mais tous mes charmants usagers sont heureux.

Ça me permet d’utiliser ma grande banque de cravates et de veston que j’étoffes depuis plusieurs années.

Le Saguenay rouge !

Monday, March 26th, 2007

Patrick, on lui a écrit:

Message a Patrick

Il nous a repondu

Message de Patrick

Le saguenay s’en vient rouge ! Il vont avoir de la belle asphate.

On s’imagine qu’il a répondu en étant…

PAAAAAS

Paaaaas !

Fier du saguenay

Ti-Jean le defait qui va gagner

Patrick binette

Quittez Bell ou Telus !

Saturday, March 17th, 2007

Oui, j’ai un parti pris. Mais je crois que les réseaux GSM sont le futur.

Ya beaucoup de monde qui ne voulaient pas quitter leur provider de cellulaire parce que ça signifiait qu’il fallait changer de numéro.

Plus depuis la semaine dernière.

http://www.wirelessnumberportability.ca

Aussi, comme le site vous l’indiquera, les numeros filaires sont transférables vers cellulaire et vice versa… Anyway.

Selon moi, plusieurs vont quitter Bell et Telus. Rogers sont pas blancs comme neige, mais au moins, ils laissent la liberté d’acheter les appareils ailleurs que chez eux !

Le iPhone qui arrives en juin et qui sera compatible avec Rogers seulement fera probablement ben du trouble aux providers qui ne sont pas GSM (Telus/Bell/Virgin).

BTW: Les téléphones que Bell ne sont pas comaptible chez Rogers ou Fido et vice versa.