I’ll be like a case of bad flu – Part IV

Après avoir perdu notre place en garderie privée (une histoire en soi), je suis devenu totalement Apeshit. J’ai rapellé le ministère ce matin et j’ai littéralement donné du trouble à la réceptionniste. Elle a, encore une fois, pris mes coordonnées et les a donné aux plaintes qui m’ont rappellé dans l’avant midi.

J’ai appris que le directeur du service des plaintes, avec qui j’ai parlé de long en large de mon dossier, était parti, et il était remplacé par intérim par une dame avec laquelle j’ai eu le dialogue suivant:

Plaintes: Avez vous appelé votre bureau coordonateur pour voir si il y avait des places ?

Moi: Oui

Plaintes: Parce que moi j’ai appellé là et j’ai eu des places pour mes enfants.

Moi: Vous restez où ?

Plaintes: sur la rive sud.

Moi:C’est sur qu’il y a des places. Le 3/4 des gens de la rive sud travaillent a montreal et emmenent leurs enfants sur l’île de Montreal.

Plaintes: Ouais…

Comme je retournais encore au syndrome de la conversation circulaire (je peux rien faire, le système est fait comme ça, vous exagérez, voyons ce n’est pas vrai, je peux pas vous trouver une place blah blah blah.). J’ai finalement réalisé que le service des plainte a pour but de juste faire gagner du temps au ministère et de squasher ce qu’il reste d’espoir au petit peuple honnête sans place de garderie. C’est pratiquement imposible de se rendre plus haut dans la chaine et je l’affirmes ici sans peur, le service des plaintes est incompétent, narquois et totalement, absolument, sans pouvoir tout en ayant une perception totalement déconnecté de la réalité. Si vous regardez l’organigramme du ministère, le service des plaintes y est tout en bas quand au contraire, il devrait être tout en haut.

Le pire est que les gens qui y sont doivent avoir de super salaires, et probablement de super pensions. Si la ministre ou les sous-ministres, se faisaient demander en simuation de trouver une place probablement qu’il comprendraient.

J’ai décidé que mon dernier recours était d’aller au bureau du ministère de la famille à Montreal. Comme Melissa devait aller visiter une garderie et que c’était sur son chemin, elle m’y a laissé.

Comment je pourrais décrire.

Il ya rien, absolument rien dans ces bureaux. Pas de réceptionniste, et je n’ai vu qu’une seule autre personne a part mon interlocutrice dans ce qui se trouves à être la moitié d’un étage du 600 Fullum. En frais d’usage efficace de locaux, disons que j’ai déjà vu mieux. Ca ressemblait a un gros momument représentant l’inefficacité. C’était vraiment irréel. Ça me faisais penser aux scènes dans les films où des gens qui grattent dans des fraudes et trouves des bureaux avec personne dedans parce que l’adresse est juse un cover.

Je sonne, on vient me répondre avec un air surpris. J’explique qui je suis, pourquoi je suis là et quelles sont mes intentions. La dame, m’affirmes qu’elle va m’écouter même si il n’y personne de ce ministère ici (Elle est de l’immigration, l’ancien ministère de Yolande James) et nous nous rendons dans une salle de conférence où elle se prépare a prendre des notes. D’emblée, je lui donne mon permis de conduire comme preuve d’identitée, et elle me remet sa carte. Elle est relativement bien placée.

J’ai déballé toute l’histoire, elle a pris quelques notes, je lui explique que j’ai l’impression de me faire bouleshitter car pas de réponse de Yolande James a mes email même si on m’a assuré qu’elle me répondrait, l’attaché politique de cette dernière ne veut plus me parler, les plaintes sont un dead end, il n’y a pas d’action etc. Elle a compris le frustrant de la sitution et elle semblait d’accord avec ce je disais. Elle a pris mes coordonnées et elle m’a assuré que quelqu’un du cabinet me contacterait.

Je lui ai fait comprendre que depuis la rentrée parlementaire, il ne se passait rien, qu’il ne semblait avoir aucune volonté a vouloir règler les problèmes, et que selon ma théorie, l’attaché politique de Yolande James devait jouer au backgammon toute la journée pour être déconnecté de la réalité a ce point. Elle a rit !

Je suis revenu à la maison en Bixi.

Une drôle de coincidence

J’ai reçu le même après midi un téléphone d’une garderie, a 7 $ a deux pas de la maison. Je doute que ça ait rapport a mes interventions parce que:

  1. J’ai vu la liste de la dame, et notre nom était vraiment le prochain sur la liste
  2. La dame nous a dit qu’elle avait eu la place la semaine dernière mais qu’elle avait pas eu le temps de nous rappeller.
  3. Elle nous a dit qu’elle avait eu notre nom de la liste.

Je n’ai eu une place que pour mon plus vieux.

Je vais continuer ma quête, et j’espère que quelqu’un de bien placé dans la foodchain va finir par écouter et ils vont finir par mettre ce système en ordre.

Pour finir

Écoutez Enquête jeudi soir. Ça va faire mal.

Un conseil à madame James, si un jour elle lit mon post: Si vous voulez pas finir comme Jean Garon quand il s’est retrouvé a l’éducation (Malgré lui), réformez ce système pourri pendant qu’il reste un peu de temps

One Response to “I’ll be like a case of bad flu – Part IV”

  1. Maryse says:

    Ce qui m’échappe dans toute cette histoire c’est que ta blonde disait que vous n’étiez plus sur les listes pas plus tard qu’au mois d’août, comment ça que maintenant son nom soit apparu? Qui à décidé de le remettre? Et comment le remettre dans la bonne chronologie?
    En tout cas, bonne nouvelle!

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